Une crise mais quelle crise ? Ces derniers jours, pour se rassurer les dirigeants du Front national semblaient s’être donné le mot : moquer la déconfiture du parti socialiste dont les débats internes, dans une cabine téléphonique, n’intéressent plus grand monde. Ils rappellent aussi que le FN, qui a réuni en mai dernier 11 millions de d’électeurs, record historique, a également six députés dans l’hémicycle.
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