Discriminations

« Camp de gitans » : après la faute d’Hervé Marseille, le silence à Paris

Le président de l’UDI, Hervé Marseille, a parlé de « camp de gitans » pour critiquer le groupe insoumis à l’Assemblée nationale. Une association a déposé plainte pour injure, mais au gouvernement, à droite et dans les médias, sa sortie n’a suscité qu’une discrétion de violette. Un exemple de la banalisation de l’antitsiganisme en France.

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« C’est insupportable, on ne peut plus rien dire du tout… » Hervé Marseille se trompe, lorsqu’il se lamente dans les colonnes du Parisien. On peut - en tout cas, il peut - évoquer un « camp de gitans » comme le synonyme d’un grand bazar, stigmatiser une population entière et rester un homme politique respectable aux yeux de ses pairs, élu de la République et président de parti.

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