Comme très souvent en matière de violences policières, la justice française fait preuve d’une extrême prudence, pour ne pas dire d’une grande frilosité, dans le traitement des événements survenus ces derniers mois à Sivens. L’affaire la plus grave, le décès de Rémi Fraisse, tué à 21 ans ans par une grenade offensive lancée sur lui par un gendarme mobile, n’échappe pas à la règle.
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