« Mais de quel texte débattons-nous ? Quel est véritablement le projet de la réforme de la SNCF ? Où est la cohérence ? » Tout au long de cette première séance parlementaire du 9 avril, les rares députés présents pour débattre de la réforme de la SNCF n’ont cessé d’interpeller le gouvernement sur le sujet, tant ils avaient le sentiment d’être traités comme des passagers voyageant dans les soufflets. Des acteurs subalternes qu’il fallait bien réunir, puisque la forme l’imposait, mais dont l’avis importait peu puisque la majorité automatique était déjà acquise. Au point de leur présenter un projet de loi non arrêté.
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