Un an après #MeToo, les avocats en droit du travail attendent encore le changement
Les avocats qui défendent les salariés aux prud’hommes attestent que les cas de harcèlement sexuel y sont mieux traités, un an après l’affaire Weinstein. Mais ils déplorent toujours un manque de formation des juges et une volonté politique faible de s’attaquer de front au problème.
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Les relations de travail sont au cœur des débats déclenchés par l’affaire Weinstein et le mouvement “Me Too” il y a tout juste un an. Dès l’irruption du sujet sur le devant de la scène médiatique, Mediapart avait donné la parole à des femmes de divers milieux professionnels, comme autant de preuves que les questions de violences sexistes et sexuelles, de harcèlement ou de consentement, hantent les couloirs des entreprises. Et parmi les mieux placés pour en attester, on trouve les avocats en droit du travail.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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