« Le FN n’est pas un parti comme les autres, et heureusement », s’est félicité Julien Sanchez, le maire FN de Beaucaire, lors de l’université d’été du FNJ, le 6 septembre. L’affirmation vaut également pour le rapport aux journalistes et aux chercheurs. Depuis deux ans, le parti lepéniste renoue avec une culture de l’opacité. Si plusieurs médias, dont Mediapart, se voient refuser l’accès aux événements du Front national, des chercheurs travaillant sur l’extrême droite sont eux aussi ostracisés.
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