Violences sexuelles : la fin du silence

Ce que cache le non-lieu de Georges Tron

Les accusations de viols et d'agressions sexuelles contre le maire (UMP) de Draveil ne sont pas assez étayées pour les juges d'instruction. Mais leur ordonnance de non-lieu comporte de nombreux témoignages qui jettent une lumière crue sur le comportement de l'élu avec les femmes.

Michel Deléan

Deux ans et demi après avoir démissionné du gouvernement Fillon, le 29 mai 2011, et avoir été mis en examen, un mois plus tard, pour « viols et agressions sexuelles en réunion », le maire (UMP) de Draveil (Essonne) et ex-député Georges Tron a finalement obtenu un non-lieu, comme l’avait requis le parquet d’Évry en mai dernier, avec toutefois des considérations peu flatteuses pour l'élu (lire notre article ici).

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter