Violents au travail, des policiers peuvent aussi l’être à la maison
Plusieurs témoignages font état de propos racistes tenus par des membres des forces de police, ou de revendications de violences policières, dans un contexte de violences conjugales. Une étude américaine confirme l’hypothèse d’un continuum. Mais, en France, les données manquent.
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« Nique« Nique ta mère, sale pute, sale race, tu es comme tous ces sales rebeus que je contrôle. » Voici comment un policier, en poste à Police Secours, s’en prenait à son ex-conjointe, selon la plainte qu’elle a déposée en 2020. Le fonctionnaire a été condamné l’année suivante à 60 jours-amendes, une mesure alternative aux poursuites, pour violences conjugales et propos racistes. Il est toujours en poste – la promesse faite par le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, d’écarter les policiers condamnés ne valant que pour les peines d’emprisonnement.
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