Argent public : le RN accusé de détournements de fonds européens

Assistants parlementaires: la mise en examen de Marine Le Pen requalifiée en «détournements de fonds publics»

Marine Le Pen était convoquée ce vendredi par les juges dans l’affaire des soupçons d’emplois fictifs de son parti au Parlement européen. Les juges ont aggravé sa mise en examen, requalifiée en « détournements de fonds publics ». Quinze personnes sont mises en examen.

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Les juges d’instruction enquêtant sur les soupçons d’emplois fictifs du Rassemblement national (ex-Front national) au Parlement européen ont décidé, vendredi 12 octobre, d’aggraver la mise en examen de Marine Le Pen. En juin 2017, la présidente du Rassemblement national (RN) avait été mise en examen pour « abus de confiance ». Cette mise en examen a été requalifiée en « détournements de fonds publics », comme l’a indiqué la présidente du RN à l’Agence France-Presse (AFP). Un délit passible de dix ans d’emprisonnement et d’un million d’euros d’amende, contre trois ans de prison et de 375 000 euros d’amende pour l’abus de confiance.

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