« Il ne manque plus que la guillotine », s’est plaint Alexandre Djouhri par écrit, le 31 janvier, sous l’œil de la juge des libertés et de la détention. « Je suis absolument convaincu qu’une mission a été donnée sur ordre politique pour essayer d’abattre Nicolas Sarkozy, parce que tous les chemins mènent à Nicolas Sarkozy et pas à Rome là, a-t-il déclaré le même jour à la juge d’instruction Aude Buresi. Il est la cible pour ceux qui sont les fomenteurs du traquenard. »
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