«Je ne dis pas que je veux donner l’image d’un homme parfait, je ne le suis pas. J’ai pris conscience de certaines fragilités et faiblesses qui ont été exposées ici. » Interrogé à la barre de la cour d’assises d’appel de Paris, au quinzième jour d’audience, ce vendredi 12 février, Georges Tron entame sa déposition spontanée dans le registre de l’émotion, sur un ton qui se veut humble et solennel à la fois. « Il est douloureux de voir sa vie sexuelle et sentimentale disséquée, expose-t-il. Je n’ai pas de réponse à toutes les questions que vous allez me poser. »
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