Violences sexistes et sexuelles Analyse

Un an après la mort de Guillaume, le PCF accusé d’inaction

Il y a un an, quelques jours après avoir accusé deux communistes parisiens de violences sexuelles, un jeune étudiant, Guillaume, se suicidait. Depuis, les mis en cause sont « en retrait » du PCF. Mais les proches du disparu dénoncent des mesures insuffisantes.

Clément Pouré

Sur un drapeau blanc, le visage dessiné au marqueur de Guillaume T. flotte sur la place du Châtelet, à Paris. Il est 15 heures. Une centaine de personnes sont venues honorer la mémoire du jeune militant de gauche ayant mis fin à ses jours le 9 février 2021 après avoir pris la parole, sur les réseaux sociaux, pour dénoncer les violences sexuelles dont il s'estimait la victime. 

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter