Un CRS «harcelé» après avoir dénoncé une affiche de Hitler dans sa caserne
Depuis la découverte en janvier 2011 d’une photo de Hitler dans les locaux de la compagnie républicaine de sécurité de Perpignan, le policier qui l'avait dénoncée dit être victime du harcèlement moral de son commandant. Une information judiciaire a été ouverte en 2016.
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Le 17 janvier 2011, à la compagnie républicaine de sécurité (CRS) de Perpignan, deux agents de maintenance découvrent une grande photo en noir et blanc d'Adolf Hitler en compagnie de Hermann Goering. Affichée dans la salle d’attente de l’infirmerie de la CRS, la photo ne passe pas inaperçue – 42 × 59 cm. Dans ce local de la caserne sont reçues pour visite médicale les futures recrues qui souhaitent passer le concours de gardien de la paix. « Pour nous, c’est donc un lieu public », explique Pierre Place, ex-secrétaire général de la CGT des Pyrénées-Orientales.
Désastre économique, humanitaire, droits humains attaqués… Un an après avoir rebasculé dans les mains des talibans, l’Afghanistan n’en finit pas de sombrer. Pour la minorité LGBT+, le retour des fondamentalistes islamistes est dévastateur.
Mediapart a sillonné la vallée de la Valdaine et ses environs dans la Drôme, à la rencontre d’agriculteurs qui souffrent des canicules à répétition. Des pans de récoltes grillées, des chèvres qui produisent moins de lait, des tâches nouvelles qui s’accumulent : paroles de travailleurs lessivés, et inquiets pour les années à venir.
Il y a un an, le critique de théâtre Jean-Pierre Thibaudat confirmait dans un billet de blog de Mediapart avoir été le destinataire de textes disparus de l’écrivain antisémite Louis-Ferdinand Céline. Aujourd’hui, toujours dans le Club de Mediapart, il revient sur cette histoire et le secret qui l’entourait encore. « Le temps est venu de dévoiler les choses pour permettre un apaisement général », estime-t-il, révélant que les documents lui avaient été remis par la famille du résistant Yvon Morandat, qui les avait conservés.
En renvoyant systématiquement la Nupes à « l’extrême gauche », la Macronie continue de banaliser l’extrême droite qui, présente en force à l’Assemblée nationale, se félicite d’avoir autant de ventriloques.
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