En quelques années, ils sont devenus visibles dans l’espace public. Revendiquant le port de signes religieux distinctifs, comme la barbe et la djellaba au-dessus des chevilles, les salafistes français ne vivent plus reclus dans quelques quartiers de la banlieue parisienne ou lyonnaise. De 5 000, leur nombre est passé à 15 000 en cinq ans (lire notre enquête). À la recherche d’un mode de vie communautaire, se référant à une lecture littérale du Coran et des textes sacrés, ils sont désormais présents sur l’ensemble du territoire. Leurs pratiques inquiètent, mais se banalisent. Comment s'explique le succès qu'ils rencontrent auprès d'un nombre croissant de jeunes musulmans en quête de sens et de valeurs ?
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