Geoffrey Le Guilcher était un « viandard ». Pas de bonne journée sans tailler une énorme bavette ou un kebab. Peu importe l’origine du morceau. Pourvu qu’il nourrisse. En tête, l’adage de ses grands-parents qui le suit depuis l’enfance : « Mieux vaut manger de la viande tous les jours plutôt que de partir en vacances. » La viande « comme un symbole de réussite et de pleine santé ». 40 jours d’immersion dans un abattoir industriel auront vacciné à vie ce journaliste indépendant, collaborateur à Mediapart, Les Jours, Streetpress ou encore Le Canard enchaîné, devenu à 30 ans flexitarien, un végétarien flexible qui mange encore un peu de viande, mais très peu.
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