L'histoire ne dit pas au volant de quel véhicule se trouvait Boubakeur el-Hakim lorsque, le 27 novembre dernier, un drone américain a mis fin à sa carrière de terroriste international. Un an auparavant, le premier djihadiste repenti à avoir identifié le Français el-Hakim sur une planche photographique avait insisté sur ce détail matériel, à ses yeux significatif de son importance au sein de l'État islamique. Il conduisait une Kia blanche. « Un véhicule d’émir », avait précisé le repenti.
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