Après très exactement deux semaines d’existence, la Nuit debout ne montre aucun signe de fatigue : elle continue d’attirer toujours plus de curieux et de fidèles chaque soir sur la place de la République, à Paris, et un peu partout ailleurs en France. Cependant, une même question est présente sur toutes les lèvres : « Qu’est-ce que l’on veut ? » Et à travers cette question, une autre est sous-entendue, plus clivante : « Doit-on céder à la verticalité pour des motifs d’efficacité ou peut-on espérer arriver à quelque chose avec des impératifs d’horizontalité ? »
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