Depuis le début, les journalistes de Bastamag et tous ceux qui avaient relayé leur enquête sur l’accaparement des terres par le groupe Bolloré et sa filiale Socfin ne comprenaient pas pourquoi ils étaient poursuivis en diffamation par Vincent Bolloré, sauf à imaginer qu’il y avait un interdit à enquêter sur les activités africaines du groupe. La 17e chambre correctionnelle de Paris vient de donner raison aux journalistes (voir notre article relatant le procès ici).
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous