Le camp «humanitaire» de Paris cherche son modèle en Allemagne
Des migrants accueillis de manière « inconditionnelle », mais « temporaire », dans Paris : Dominique Versini, l'élue chargée de la solidarité à la mairie, a précisé jeudi 16 juin les contours du « camp humanitaire » qui doit ouvrir à la rentrée.
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Malgré un retard à l’allumage de plus d’un an, le « camp humanitaire » que la maire de Paris, Anne Hidalgo, souhaite installer dans la capitale pour accueillir les migrants arrivant dans la ville (en moyenne 50 à 60 personnes par jour), est en train d’être conçu. Lors d’un point presse organisé jeudi 16 juin, Dominique Versini, adjointe chargée des questions de solidarité, n’a pas voulu révéler l'adresse du ou des sites retenus. Ni même le nombre exact de places disponibles (« plusieurs centaines »). Mais elle a précisé les contours de ce projet sans précédent en France.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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