Très critiqué, le Service national universel cherche son salut à l’école
Sarah El Haïry a annoncé vouloir, dès l’an prochain, intégrer le SNU au temps scolaire des classes de seconde. Sur la base du volontariat des élèves et des enseignants, pour le moment. Il s’agit de sauver le soldat SNU, coûte que coûte, et aux dépens des programmes, critiquent les organisations syndicales et de jeunesse.
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JeudiJeudi, le ministre de l’éducation nationale a introduit le sujet devant les organisations syndicales, puis il a filé vers une autre réunion. C’est Sarah El Haïry, secrétaire d’État chargée de la jeunesse, qui a pris la suite pour exposer les nouveaux contours du Service national universel (SNU), qui doit se déployer l’année prochaine sur le temps scolaire en seconde. C’est elle aussi qui a fait les principales annonces dans les médias. Tout un symbole.