C’est une petite révolution décidée dans l’anonymat de la commission de la culture, de l’éducation et de la communication du Sénat. Deux amendements qui impliquent un gouvernement aux intentions floues, une sénatrice empêtrée dans un conflit d’intérêts et, en arrière-plan, l’avenir d’une profession placée devant le fait accompli.
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