D’un Le Pen l’autre : la trajectoire du pire

Marine Le Pen poursuit les buts politiques de son père, en édulcorant la violence rhétorique. Avec l’espoir d’anesthésier les oppositions habituelles à sa résistible ascension. La duperie semble en passe de réussir. Démonstration, vidéos à l’appui.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Deux caméléons s’affrontent au second tour de l’élection présidentielle : Emmanuel Macron, qui joue au libéral pour mener une politique globalement illibérale ; Marine Le Pen, qui mime la démocrate avant de se révéler antidémocrate au possible. Les deux peuvent apparaître aujourd’hui sur une ligne similaire, mais l’équivalence est trompeuse. Tout est affaire de processus, de trajectoire, de mouvement : Marine Le Pen partirait de là où s’arrête Emmanuel Macron. Telle est la différence entre « fascisme et fascisation », selon le sociologue et politiste Ugo Palheta.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal