L’extrême droite au pouvoir : les composantes du déni

Beaucoup a été dit sur la mauvaise alternative que constitue le vote de dimanche 24 avril. Reste peut-être à explorer la force du déni autour de la possibilité que Marine Le Pen soit vraiment élue. Un déni à la fois plus protéiforme et puissant qu’il y a cinq ans.

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« De toute façon, elle n’a aucune chance » ; « En fin de compte, suffisamment de gens iront voter Macron » ; « Même si elle passait, elle n’aurait pas de majorité à l’Assemblée nationale et/ou se heurterait à la Constitution » ; « Aucun sondage ne la donne en tête »

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