Avec une croissance supérieure à 5 % par an depuis le début de la décennie, un taux de chômage d’à peine plus de 2 %, la France de la fin des années 1960 se porte comme un charme. « Elle ne se connaît pas d’ennemis », claironne même le général de Gaulle lors de ses vœux télévisés pour 1968, lui qui « ne voit donc pas comment on pourrait être paralysé par des crises ». L’avenir, on le sait, lui donnera vite tort.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous