Le droit à un environnement sain rejoint la liste des « libertés fondamentales ». Mais après ?

Le Conseil d’État a récemment rendu deux décisions, l’une reconnaissant le droit de vivre dans un environnement sain comme une liberté fondamentale, et l’autre condamnant l’État pour son inaction dans la lutte contre la pollution. Deux avancées qui doivent cependant être relativisées.

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Le Conseil d’État a annoncé, vendredi 14 octobre, avoir reconnu « le droit de chacun de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé » comme l’une des libertés fondamentales. Dont il donne par ailleurs, pour la première fois, une liste exhaustive.

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