Les non-dits d’Emmanuel Macron dans l’affaire Alstom

C’était un rapport qui devait rester inconnu du grand public, avant que la commission d’enquête parlementaire sur Alstom ne découvre son existence. À l’automne 2012, Emmanuel Macron, alors secrétaire général adjoint de l’Élysée, a commandé – sans en parler au ministre – un examen des scénarios visant à faciliter le désengagement de Bouygues dans Alstom. Dès cette date, le démantèlement du groupe industriel est à l’étude. Quel rôle a joué Emmanuel Macron dans cette affaire ? A-t-il défendu les intérêts de Bouygues ou ceux de l’État ?

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

C’était le 11 mars 2015. Emmanuel Macron, alors ministre de l’économie, intervenait devant la commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale pour s’expliquer sur le dossier Alstom. « Le gouvernement a été mis devant le fait accompli », insistait-il pour justifier le rachat précipité des activités énergie du groupe industriel par General Electric (GE). Ce jour-là, Emmanuel Macron a menti.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal