La pénalisation des clients de prostituées remet-elle en cause le droit au respect de la vie privée ainsi que la liberté d’entreprendre garantis par la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen ? Devant le Conseil constitutionnel s’est rejoué, le 22 janvier 2019, le vif débat qui avait précédé l’adoption de la loi sur la prostitution du 13 avril 2016.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous