Au gré des nombreux textes de loi renforçant la lutte contre la délinquance économique et financière, ces trois dernières décennies, la citadelle du ministère des finances a toujours réussi à sauver l’une de ses prérogatives les plus curieuses : le pouvoir exclusif de déclencher des poursuites pénales pour fraude fiscale. Un monopole dont l'administration fait un usage très parcimonieux.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous