Quand le verrou saute (un peu) au PG

Au terme de son congrès, le Parti de gauche co-présidé par Jean-Luc Mélenchon et Martine Billard a donné une impression différente de celle d’un parti cadenassé. Et a permis d’entendre certaines critiques en son sein.

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Ce samedi soir, en début de soirée, Jean-Luc Mélenchon quitte à la hâte le pot offert aux invités, pour rejoindre, le visage fermé, le premier rang de la salle où se tient le congrès du Parti de gauche. Avant qu’il ne revienne à son siège, l’assistance criait : « Démocratie ! Démocratie ! » Objet de la rébellion : la remise en cause de la procédure d’élection du nouveau bureau national (BN) du PG. La méthode, une liste de soixante noms proposés par une nébuleuse commission de désignation, irrite les délégués. La possibilité laissée de rayer les noms de la proposition dirigeante, afin de voter par la suite pour un des 55 recalés, ne les a guère apaisés.

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