Violences sexuelles : à gauche, des avancées et des tâtonnements
L’affaire Taha Bouhafs a mis en lumière le fonctionnement de la cellule dédiée aux violences sexistes et sexuelles de La France insoumise. Ces dernières années, plusieurs formations classées à gauche ont instauré des procédures internes. Non sans difficultés sur des dossiers sensibles politiquement.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
« Personne« Personne n’est à l’aise face à ce type de sujet. » L’aveu est signé Jean-Luc Mélenchon, interrogé dimanche 22 mai à propos des révélations de Mediapart sur le ministre des solidarités Damien Abad. Le patron de La France insoumise, et candidat déclaré au poste de premier ministre lors des élections législatives de juin, s’est aussi refusé à l’appeler à démissionner. « M. Damien Abad pourrait aussi en tirer des conclusions personnelles, mais je ne lui dis pas “faites-le”, je ne sais pas. »