Santé

Primes JO : le double standard entre les forces de l’ordre et les hospitaliers

Pour les forces d’ordre, la prime des Jeux olympiques est attribuée selon des critères clairs, sans distinctions hiérarchiques. La situation est toujours opaque pour les hospitaliers, traités de manière inéquitable selon les métiers.

Caroline Coq-Chodorge

Dès le 30 janvier 2024, le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin a annoncé la couleur aux policiers et policières mobilisé·es pendant les Jeux olympiques (JO). Ils et elles n’auront que deux semaines de vacances cet été. Mais avec des contreparties : tous et toutes, quels que soient leurs responsabilités et leur lieu d’affectation, bénéficient d’une prime de 1 000 euros ; cette prime est portée à 1 600 euros pour celles et ceux travaillant dans l’un des départements où se déroulent des épreuves, et à 1 900 euros si le poste est pris en Île-de-France. Pour soulager les pères et mères de famille, des solutions de garde d’enfants leur sont proposées.

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