Violences sexistes et sexuelles

Au cœur des témoignages #MeTooGarçons, les dégâts d’une « idéologie de la virilité » 

Sous le mot-dièse #MeTooGarçons, lancé par le comédien Aurélien Wiik, les témoignages d’hommes victimes de violences sexuelles affluent. Longtemps, ces récits ont été inaudibles, notamment en raison des stéréotypes liés à la masculinité.

Marine Turchi

Ce sont quelques lignes sur son compte Instagram qui ont déclenché une avalanche de témoignages. Le 22 février, le comédien Aurélien Wiik a révélé avoir été « abusé », de ses 11 ans à ses 15 ans, « par son agent » et avoir « porté plainte à 16 ans » car son agresseur « le faisait à d’autres » : « Je l’ai envoyé en prison, il a pris cinq ans. » Et l’acteur de 43 ans d’appeler d’autres victimes à se manifester, sous le mot-dièse #MeTooGarçons.

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