Libertés publiques

Le gouvernement veut dissoudre un groupe antifasciste lyonnais 

Le ministère de l’intérieur reproche au Gale de « légitimer le recours à la violence », notamment contre l’extrême droite, et d’appeler à la haine envers la police. Fondée sur une nouvelle disposition de la loi « séparatisme », cette procédure est la première à viser une organisation d’extrême gauche depuis quarante ans. 

Camille Polloni

Le ministère de l’intérieur a formellement lancé la dissolution du Groupe antifasciste Lyon et environs (Gale)*, un collectif autonome qu’il assimile à un « groupement de fait incitant à la haine et à la violence »

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