La place des élèves harceleurs : l’impensé coupable de l’Éducation nationale

AprèsAprès l’émoi provoqué par la manière dont l’administration de l’Éducation nationale répond parfois aux alertes, place aux annonces. La première ministre Élisabeth Borne doit tracer, mercredi 27 septembre, les grandes lignes d’un nouveau plan contre le harcèlement scolaire. Quelle que soit la philosophie choisie, il y a déjà de quoi se perdre dans le brouhaha médiatique. « On jette l’anathème sur tout le monde, c’est un peu du grand n’importe quoi », résume Sandrine Claude, représentante de parents d’élèves FCPE et membre d’un groupe de travail sur le sujet dans l’académie de Besançon.