À Saint-Étienne, le maire, la sextape et le chantage politique Reportage

Au procès du chantage de Saint-Étienne, le tribunal suit la piste de l’argent

Les dirigeants de deux associations stéphanoises ont été entendus par le tribunal, au quatrième jour du procès de l’affaire de la sextape. Chacune a touché 20 000 euros de subvention de la mairie, avant de les reverser à un des organisateurs du kompromat.

Antton Rouget

Comme si le piège avec un escort dans une chambre d’hôtel et les odieuses scènes d’humiliation qui se sont ensuivies pendant des années ne suffisaient pas. Au quatrième jour du procès du chantage à la sextape de Saint-Étienne, la 17e chambre du tribunal judiciaire de Lyon a consacré une journée entière, jeudi 25 septembre, à explorer l’hypothèse d’un possible financement public de l’effroyable complot monté contre le premier adjoint de la municipalité, Gilles Artigues. 

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