Extrême droite : la menace terroriste Chronique

OSS 117 au pays de l’ultradroite

Au sein des Barjols, groupuscule dont des membres sont jugés pour association de malfaiteurs terroriste, Delphine Tissot avait vendu un projet de coup d’État par des mercenaires russes. À l’audience, elle a avoué : « Je ne le connais pas personnellement, monsieur Poutine. »

Matthieu Suc

Sur les réseaux sociaux, elle était « Nikita », comme la tueuse du film du même nom. Auprès des autres membres de l’ultradroite, elle était « Commandant C2 », une gradée de la DGSI. À la barre de la 16e chambre du tribunal correctionnel de Paris, elle est simplement Delphine Tissot. 

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