Jean-Luc Mélenchon est un homme heureux. Chaque jour qui passe semble lui donner raison. Non seulement, on ne le regarde plus comme un affreux bolchevik quand il prononce les mots « planification », « réquisitions », « nationalisation » ou « annulation de la dette ». Mieux : poussées par le vent de la crise, « ses » idées – ou plutôt celles de La France insoumise – feraient des émules au-delà de son propre camp.
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