La réforme pénale de Taubira est mal partie

La future peine de probation, poussée par la ministre de la justice, vise à ne plus rendre l’incarcération systématique pour les petits délits. Il s'agit de construire de nouvelles alternatives à la prison après une décennie de lois ultra sécuritaires. Bien qu’assez prudente, la réforme pénale de Christiane Taubira a toutefois du plomb dans l’aile même si cette peine de probation existe déjà dans plusieurs pays européens.

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Déjà annoncée par Christiane Taubira en juin 2012, dès son arrivée Place Vendôme, la création d’une peine de probation comme alternative à la prison a fait son retour cet été et a donné lieu à une passe d’armes remarquée entre la ministre de la justice et son homologue de l’intérieur Manuel Valls.

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