Au procès des attentats de janvier 2015, les regrets de l’agent SI 562

Un responsable de la DGSI a tenté, vendredi, d’expliquer pourquoi la surveillance effectuée sur les frères Kouachi avait été abandonnée sept mois avant la tuerie de Charlie Hebdo. Cet enquêteur qui a contribué à empêcher plusieurs attentats est apparu rongé par cet échec.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Depuis que les policiers de la lutte antiterroriste, comme la loi les y autorise pour préserver leur anonymat, sont entendus par les tribunaux par visioconférence, cachés derrière une porte ou un mur ne laissant deviner que leur silhouette, on a le droit à des témoignages qui sont le plus souvent des lectures d’une voix monocorde de procès-verbaux déjà versés dans les procédures. Leurs auditions sont parfois techniques, souvent aseptisées. 

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal