Depuis que les policiers de la lutte antiterroriste, comme la loi les y autorise pour préserver leur anonymat, sont entendus par les tribunaux par visioconférence, cachés derrière une porte ou un mur ne laissant deviner que leur silhouette, on a le droit à des témoignages qui sont le plus souvent des lectures d’une voix monocorde de procès-verbaux déjà versés dans les procédures. Leurs auditions sont parfois techniques, souvent aseptisées.
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