Nouvelle-Calédonie : débats autour du colonialisme français Parti pris

Nouvelle-Calédonie : la faute d’Emmanuel Macron

En maintenant le troisième référendum d’autodétermination le 12 décembre, malgré la crise sanitaire et politique qui frappe l’archipel, le président de la République déchire un contrat signé il y a trente ans. Le processus de décolonisation va se conclure en l’absence du peuple colonisé. Une aberration politique aux lendemains dangereux.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

C’est un sujet qui passionne les fâcheux de la rive droite à intervalles très irréguliers. Ils s’en emparent avec la certitude des ignorants, rivalisant de formules simplistes, à mille lieues – ou plus exactement 16 732 kilomètres – des enjeux du processus de décolonisation en cours depuis trente ans en Nouvelle-Calédonie. Le maintien du troisième et dernier référendum d’autodétermination à la date déjà contestée du 12 décembre a relancé cette mécanique infernale.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA