Édouard Philippe l’a énoncé clairement : il veut agir avec « prudence ». En présentant devant l’Assemblée nationale son plan de déconfinement, le premier ministre a confirmé que la réalité de la crise sanitaire était bien plus complexe que de simples promesses présidentielles. « Je le dis aux Français, si les indicateurs ne sont pas au rendez-vous, nous ne déconfinerons pas le 11 mai, ou nous le ferons plus strictement », a-t-il insisté, mardi 28 avril, avant de détailler « l’architecture générale » de la stratégie gouvernementale.
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