En réponse au plan social, les salariés de General Electric à Belfort prônent la réindustrialisation
General Electric, repreneur de la branche énergie d’Alstom en 2015, a annoncé mardi la suppression de 1 044 postes en France. Un plan social inévitable, pour Bercy. Les syndicats assurent pourtant que le site de Belfort a tout pour se réinventer un destin industriel.
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BelfortBelfort (Territoire de Belfort), correspondance.– La crainte des salariés de General Electric (GE) à Belfort était justifiée. Depuis plusieurs semaines, ces chiffres circulaient dans les usines : entre 800 et 1 000 postes seraient menacés. Mardi 28 mai, le groupe américain, repreneur de la branche énergie d’Alstom en 2015, est finalement sorti de son silence : 1 044 postes devront être supprimés, essentiellement sur les sites de Belfort, Bourogne et Boulogne-Billancourt, en raison des « projets d'évolution de l'organisation de ses activités gaz et de ses fonctions support », a indiqué la direction du groupe lors d’un comité central d’entreprise.
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