Elle précise d’emblée : « Quand je dirai je, c’est nous qu’il faut entendre. » Noémie Louvradoux parle, à la barre du tribunal ce 27 juin, pour elle-même, pour ses frères et sœurs – Raphaël, Juliette et Matthieu –, pour sa mère Hélène, mais aussi au nom de son père, Rémy Louvradoux, qui s’est immolé par le feu il y a presque dix ans, détruit par son travail à France Télécom. Un cas emblématique de la crise qui a secoué le groupe à la fin des années 2000.
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