Dorlotée sous Blanquer, l’école privée prospère

L’enseignement privé n’a guère eu à souffrir du quinquennat écoulé, protégé par la figure tutélaire d’un enfant du système, le ministre Jean-Michel Blanquer lui-même. La gauche, tout à la défense d’un service public malmené, tâtonne sur sa remise en cause.

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« Depuis l’abandon du projet d’unification de l’école privée et de l’école publique en 1984, l’immense majorité des dirigeants sont tétanisés par la question du dualisme scolaire, en expliquant, les jambes tremblantes, qu’ils ne veulent pas ranimer la guerre scolaire. Sauf que cette guerre scolaire est perdue, en défaveur des élèves les plus pauvres. »

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