Il aura fallu qu’un favori à la présidentielle explose en plein vol et qu’un « outsider » vierge de tout mandat s’empare de l’Élysée pour que l’Assemblée nationale, renouvelée à 75 %, se décide à lutter contre les abus d’argent public commis en son sein, avec des armes enfin non factices. Ce jeudi 27 juillet, deux mesures phares des projets de loi « moralisation » voulues par le gouvernement, visant les parlementaires au premier chef, ont ainsi été votées par les députés (après les sénateurs) : la prohibition des emplois familiaux et l’instauration de notes de frais.
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