Inégalités Reportage

En vacances avec les Petits Frères des pauvres, pour éviter « la mort sociale »

À Cabourg, douze hommes et femmes profitent d’une « parenthèse » en bord de mer, grâce à l’association Les Petits Frères des pauvres. Celle-ci a constaté l'an dernier que plus de 500 000 personnes âgées de 60 ans et plus étaient sans contact familial, amical ou associatif.

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Cabourg (Calvados).– Sur le bord de mer de Cabourg, Laurent marche aux côtés de Christian et Marie alors que le vent frais chasse les quelques nuages parcourant le ciel bleu. « Allez, Christian, sens le soleil sur ta peau ! », lance Laurent, bénévole depuis 2019 aux Petits Frères des pauvres. Christian, 56 ans, participe à son premier séjour de vacances, organisé par l’association du 21 au 29 juillet dans la ville de Normandie, en compagnie de onze autres personnes. Ex-sans domicile fixe, accidenté·es, atteint·es de maladies..., si les raisons de leur isolement et de leur précarité varient, tous et toutes apprécient cette « parenthèse » dans leur quotidien. Cinq bénévoles les accompagnent.

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