La démission de Nicolas Hulot mardi matin 28 août en direct sur France Inter résonne comme un coup de tonnerre pour l’exécutif : le mensonge n’est plus tenable, l’action du gouvernement ne pèse rien face à la destruction en cours du monde. « Je ne comprends pas que nous assistions à la gestation d’une tragédie bien annoncée dans une forme d’indifférence », ni pourquoi « ce sujet est toujours relégué dans les dernières priorités », a dit le ministre de la transition écologique, juste avant d’annoncer sa démission.
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