Les acteurs ont vieilli. Certains sont souffrants, quelques autres ont disparu. Les journalistes se font rares dans la salle d'audience. Il y a quelque chose de désolant, bien que nécessaire, dans le procès en appel de Georges Tron. Dix ans après la plainte déposée contre lui par deux jeunes femmes, l'ancien ministre et actuel maire (LR) de Draveil (Essonne) est rejugé depuis lundi 25 janvier par la cour d'assises d'appel de Paris, et doit répondre d'accusations de « viols en réunion » et « agressions sexuelles en réunion ».
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