Nicolas Sarkozy et l’extrême droite : un ancien président ne devrait pas dire ça
Dix ans après avoir expliqué que « Marine Le Pen [était] compatible avec la République », Nicolas Sarkozy propose désormais une gouvernance avec les « amis » d’Éric Zemmour. Malgré les défaites et les affaires, il continue de faire la leçon. Et poursuit son entreprise de normalisation de l’extrême droite.
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SeptSept ans après avoir été balayé au premier tour de la primaire de la droite et du centre, on aurait pu imaginer que le message était passé : Nicolas Sarkozy est persona non grata jusque dans sa propre famille politique. Sans même parler des conséquences que cette défaite aurait dû entraîner sur quiconque possède un semblant de surmoi, les affaires qui touchent l’ancien président de la République auraient, elles aussi, pu lui inspirer une forme de discrétion.