Il y a chez Manuel Valls des danses du ventre et de la rigidité. Des ondulations et des constantes. Des courbettes et des raideurs de la nuque. Il peut, pour des raisons qui tiennent à ses intérêts immédiats, faire le contraire de ce qu’il soutenait la veille. Pourtant, depuis une bonne dizaine d’années, il conservait aussi un objectif : changer le PS en le débarrassant de son aile gauche. Les deux facteurs, l’opportunisme et l’idée fixe, viennent d’entrer en collision et il n’est pas sûr qu’il s’en relève jamais.
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